La session parlementaire pour le vote de confiance au nouveau gouvernement de Hassan Diab a débuté, mardi, à Beyrouth.
Le président du Parlement, Nabih Berri, a fait savoir, lors de l’ouverture de la session, que l’ancien Premier ministre Saad Hariri a confirmé que “le courant du futur” assistera à la session, tout comme le parti des “Forces libanaises”, dirigé par Samir Geagea.
Pour Diab, son gouvernement est confronté à une objection populaire et pour y faire face, l’équipe gouvernementale doit restaurer la confiance avec des actions et des réalisations concrètes loin de toute promesse non respectée.
“Le Liban fait face à des crises économiques et sociales étouffantes, à une extrême pauvreté, à l’effondrement des infrastructures et des services de base et à une menace directe pour les salaires et les moyens de subsistance des citoyens”, a-t-il poursuivi.
Dans ce contexte, le Premier ministre désigné Hassan Diab a affirmé que « le gouvernement prendra des mesures douloureuses dans le cadre d’un plan global ».
“Les réformes que nous nous engageons à mettre en place proviennent des revendications des Libanais en plus des pays donateurs” a-t-il expliqué.
