«L’ouverture de la route côtière dépend du retrait des mercenaires», déclare un chef de l’armée libyenne

Courrier arabe

Le chef de la chambre opérationnelle de Syrte et d’al-Jofrah, le général Ibrahim Bayt al-Mal, avait bien fait comprendre que «la route ne sera pas ouverte avant que les mercenaires combattants aux côtés de Khalifa Haftar ne soient expulsées», exigeant aussi que «les milices de Haftar se repositionnent à al-Rajma».

Bayt al-Mal a expliqué au Conseil présidentiel et au comité militaire mixte des 5+5, «avoir exigé, pour ouvrir la route côtière, l’installation d’un cessez-le-feu, l’extraction des mines et le retrait des mercenaires», leur signalant que «la partie du retrait des mercenaires n’a pas été accomplie».

Il avait également demandé aux Nations unies «d’agir pour appliquer les mesures nécessaires au lieu de se limiter à rédiger des communiqués».

Quitter la version mobile