Un site électronique d’informations de la «Jordanie» a déclaré que l’ancien dirigeant du mouvement palestinien du Fatah, «Mohamed Dahlan», complotait détruire l’économie jordanienne.
Le site nota que «l’actuel conseiller du prince héritier des Émirats arabes unis (EAU) «Mohamed ben Zayed» avait planifié, à travers une compagnie locale, de vendre les produits moins cher que les prix de marché, pour infliger des pertes au groupe économique national, qui recrute des milliers d’employés».
Selon lui, «Dahlan visait à baisser les prix des produits, de sorte que le groupe national ne supporte plus les coûts de production, et se voit obliger de limoger ses employés».
Le site signala que «le groupe national soulevait plus de coûts pour soutenir l’économie de son pays, en offrant des emplois, au détriment d’une grande marge de bénéfices».
Serviteur d’Israël et de l’Accord du siècle
À ce sujet, le célèbre compte sur Twitter, «Abu Msthil» a averti la Jordanie, des risques du complot tissé par «Dahlan» et signala que le plan entrera bientôt en application.
نجحت إسرائيل في زراعة دحلان في الخليج
لينطلق من هناك في تنفيذ المؤمرات
فبعد لبنان والعراق ستتجه المؤامرة للأردن للضغط عليها بكل السبل
إقتصاديا وسياسيا من أجل صفقة القرن
لذا أناشد:
عمان والكويت والمغرب وقطر بضخ مليارات بالإقتصاد الأردني
قبل أن يبدأ دحلان وعصاباته تدمير الأردن pic.twitter.com/Ni5BKBYtWO— أبو مستهيل (@abu_musthil) November 7, 2019
«Israël a réussi a placé Dahlan dans la région du Golfe, d’où il ne cesse de comploter. Après le Liban et l’Irak, c’est au tour de la Jordanie», avait-il noté, en signalant que les plans visaient à mettre des pressions économiques et politiques, pour que la Jordanie cède au sujet de l’Accord du siècle.
«Abu Musthil» appela de ce fait le Koweït, le Maroc et le Qatar à injecter des milliards de dollars dans l’économie jordanienne, «avant que Dahlan et sa bande, ne commence à détruire le pays».
Rappelons que «Mohamed Dahlan» est l’un des personnages actifs dans la région du Moyen-Orient, connu pour son mépris aux révolutions arabes, et pour son soutien aux contre-révolutions, comme fut le cas en Égypte.
