Le journal américain, The New York Times, a remercié le Qatar, pour avoir contribué à l’évacuation de ses employés, ainsi de plusieurs autres journalistes et civils afghans, depuis l’aéroport de Kaboul.
Le NYT signala vendredi, que «les chambres informationnelles des institutions où travaillaient les journalistes basées en Afghanistan avaient ont contacté la Maison-Blanche pour demander leur évacuation, mais plusieurs plans avaient échoué».
Il ajouta : «Après plusieurs tentatives, 13 personnes travaillant au Washington Post, dont des employés afghans et leurs familles et un correspondent américain ont été évacués grâce aux militaires américains qui les ont transporté vers Doha».
«Le Qatar a aussi accepté d’aider à évacuer 128 personnes travaillant au NYT», avait-il ajouté, en remerciant le Qatar pour son soutien et sa contribution.
De sa part, Clarissa Ward, qui était correspondante de la CNN à Kaboul, a remercié le Qatar pour les efforts qu’il a fourni, pour l’évacuer, ainsi que ses collègues et des centaines de familles afghanes».
Lors d’un tweet posté sur son compte Twitter, elle nota : «Je descends tout juste d’un avion à Doha, en compagnie de près de 300 des Afghans qui ont été évacués».
Elle ajouta : «Merci pour votre soutien et votre préoccupation…Merci à l’Air force américaine pour nous avoir évacué et merci au Qatar qui nous souhaite la bienvenue…Nous sommes chanceux».
Just landed in Doha with the team and nearly 300 Afghan evacuees. Huge thanks to all of you for your support and concern, to the US Air Force for flying us out and to Qatar for welcoming us. We are the lucky ones.
— Clarissa Ward (@clarissaward) August 21, 2021
Dans ce même contexte, la porte-parole du ministère qatari des Affaires étrangères, Lolwah al-Khater, indiqua que «plus de 300 étudiantes et 200 journalistes avaient été évacués durant les 3 derniers jours».
«Certains sont sortis accompagnés de leurs familles, et à présent, ils sont en sécurité à Doha », avait-elle déclaré, en signalant que «les opérations d’évacuation se poursuivaient toujours».
Rappelons que des centaines de civils s’étaient réfugiés à l’aéroport de Kaboul, demandant à quitter le pays, après que les Talibans ont pris le contrôle de la capitale et se sont proclamés au pouvoir du pays.
