Jeudi le 13 février, les Qataries ont insisté à mémoriser les 1000 jours, que leur pays a passé sous le blocus, imposé en 2017, par le Bahreïn, les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite et l’Égypte, affirmant être avec leur gouvernement.
À travers le hashtag «#1000_ يوم_من_الصمود» (1000 jours de résistance), les Qataris ont publié des tweets, affichant un grand soutien au gouvernement de leur pays, et affirmant que «le Qatar sera toujours fort et ne tournera jamais le dos à ses principes».
Plusieurs d’entre eux avaient publié des photos de l’émir du pays, le cheikh «Tamim ben Hamad al-Thani», parlant de lui comme signe de fierté, de force et de détermination.
بعد ألف يوم من النصر لازال هذا الفارس يركض نحو المستقبل بدون كللٍ ولاملل
ضاحكاً ومبتسماً ويعيش فرحة الإنتصار
بينما الآخرون غارقون في وحل التخبط والفشل مايرفعون رِجْلاً حتى تغرق الأخرى في عمقٍ أكثر من الأولى
تهانينا للأشقاء في 🇶🇦@TamimBinHamad@MBA_AlThani_#١٠٠٠_يوم_من_الصمود pic.twitter.com/n3p0C1ckCa— Ali Bawazeer (@Aliabdullahbawz) February 12, 2020
Certains avait envoyé des messages aux pays à l’origine du blocus, leur affirmant que «le blocus avait, en réalité, renforcé leur pays et lui avait permis d’aller de l’avant et de s’imposer au niveau régional et international».
Alors que d’autres s’étaient adressés aux parties qui attendaient «la chute du Qatar et sa résignation à la soumission». Ils avaient clairement déclaré : «Ceux qui pensent que le Qatar se soumettra aux pays qui lui imposé le blocus, ne sont que rêveurs et devront lire l’histoire», soulignant que l’histoire témoignait de la grandeur de leur pays et de sa dignité.
Rappelons toutefois que le blocus avait été imposé à Doha, après que Riyad, Manama, Abu Dhabi et le Caire l’avaient accusé de soutenir les groupes terroristes, ce qu’elle nie constamment, dénonçant un complot pour atteindre à sa souveraineté et contrôler sa diplomatie.