«Les mines menacent les vies des civils libyens», affirme Human Rights Watch

Courrier arabe

L’Organisation humanitaire HRW (Human Rights Watch) a déclaré que «les mines transférés par la Russie vers la Libye, au soutien de Khalifa Haftar, menaçaient les vies des citoyens libyens».

L’ONG indiqua que «les mines antipersonnels fabriqués en Russie furent importés en Libye entre 2018 et 2019, malgré le blocus d’armement imposé au pays», signalant que «ces faits avaient été prouvés par le dernier rapport réalisé par les experts onusiens sur la Libye».

HRW nota aussi avoir révélé l’année dernière que «des mines et des explosifs furent plantés dans les banlieues sud de la capitale Tripoli, après le retrait des milices de Khalifa Haftar».

Elle rappela que «durant cette période, les forces du GNA (Gouvernement d’union nationale) avaient publiées des images, prises sur les lieux, démontrant des mines de type MON-50 POM-2, POM-2R, PMN-2».

Aussi, HRW précisa que «ce fut la première fois où ce type de mines fut signalé en Libye, le pays dont l’ancien régime de Kadhafi disposait d’un immense arsenal d’armes».

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