Libye : Les forces du GNA exigent le retrait des mercenaires pour ouvrir les routes

Courrier arabe

Le chef de la chambre opérationnelle de Syrte al-Jofrah a indiqué que «sa chambre ne donnera pas l’ordre pour ouvrir la route liant l’est et l’ouest du pays, qu’une fois les mercenaires étrangers retirés de la Libye».

Le centre informationnel de Burkan al-Ghadab (Volcan de la colère), allié au Gouvernement d’union nationale (GNA), a signalé que «Ibrahim Bayt al-Mal, le chef de la chambre opérationnelle de Syrte et d’al-Jofrah, indiqua avoir accepté de recevoir les cartes des mines plantées par les milices de Haftar, aux alentours des villes de Syrte et d’al-Jofrah».

«Nos forces prendront en charge l’extraction des mines», avait-il déclaré selon Volcan de la colère, qui indiqua que «Bayt al-Mal avait appelé à l’application des clauses de l’accord de Genève qui imposent le retrait des mercenaires étrangers et des mines plantées au pays».

Rappelons que l’est du pays, contrôlé par Khalifa Haftar et l’ouest, dirigé par le GNA sont coupés l’un de l’autre depuis avril 2019, date où les milices de Haftar avaient lancé leur offensive armée contre Tripoli.

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