En Tunisie, des sources ont signalé que «l’application Zoom a été bloquée au pays, quelques temps avant que le parlement commence la session qu’il avait prévue via l’application».
Reuters a signalé que «l’application Zoom a été bloquée en Tunisie, au moment où les membres du parlement essayaient de se joindre».
Aussi l’IARF (Intersection Association for Rights and Freedoms) signala : «Zoom a été bloqué au pays, en utilisant OONI Probe (un logiciel permettant le blocage des sites web)».
Elle affirma que «Zoom a été bloqué depuis son TCP/IP», et ce après avoir confirmé le blocage par deux serveurs Internet au pays, puis en utilisant VPN».
L’IARF avait dénoncé le fait que «les autorités tunisiennes bloquent des sites pour étouffer l’opposition et empêcher le peuple tunisien de tirer profit».
Elle appela les autorités à «lever immédiatement le blocage» et demanda «à ce qu’une telle chose ne se reproduise jamais».
«Le gouvernement tunisien doit s’engager à respecter la protection neutre et la liberté d’accès à Internet sans condition», avait-elle conclu.
