La nouvelle Constitution tunisienne risque de porter atteinte à la protection des droits humains, avertit Washington

La nouvelle Constitution tunisienne risque de porter atteinte à la protection des droits humains et des libertés fondamentales, a averti mardi, le département d’État des États-Unis.

Le porte-parole de la diplomatie américaine, Ned Price, a affirmé à la presse que les États-Unis « font part de leur crainte que la nouvelle Constitution ne comporte de faibles contrepoids qui pourraient compromettre la protection des droits humains et des libertés fondamentales ».

Il a également évoqué le faible taux de participation au référendum porté par le président tunisien Kaïs Saïed.

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