« Le taux est respectable et normal », a estimé Farouk Bouaskar. « C’est presque le même que celui enregistré à la même heure le 15 septembre à la présidentielle ». « Ce taux va nettement s’améliorer dans les heures qui viennent, parce que par expérience nous avons constaté que le nombre des électeurs augmente dans l’après-midi,  » a-t-il assuré à l’AFP. Le chiffre est bien en deçà de celui enregistré lors des législatives de 2014, qui s’était situé à plus de 60%. Les législatives risquent d’être marquées par une abstention liée au rejet des élites actuelles, mais aussi au désintérêt pour un scrutin sans clivage clair. Lors du premier tour de la présidentielle le 15 septembre, la participation a atteint 49% pour l’ensemble de la journée.