Les raids israéliens ciblent les bureaux des journalistes et une organisation dénonce «un crime de guerre»

Courrier arabe

En Palestine, le FPJS (Forum of Palestinian Journalists) a indiqué que «la tour détruite à Gaza, par l’occupation israélienne regroupait les bureaux de journalistes et de plusieurs médias», dénonçant «un crime de guerre».

Lors d’un communiqué publié, hier mardi, sur sa page Facebook officielle, le FPJS a dénoncé «les tentations déployés par l’occupation israélienne pour faire taire les journalistes et les médias».

Il indiqua que «plusieurs bureaux de médias et de journalistes, dont celui de FPJS se trouvaient dans la tour», dénonçant «un crime de guerre commis par les forces israéliennes».

FPJS a demandé «l’intervention de l’Union internationale des journalistes, l’Union des journalistes arabes, de Reporters sans frontières, et toutes les organisations actives dans le domaine du journalisme, pour obliger les forces israéliennes à mettre fin aux crimes».

 

En tant que civils, les journalistes ne peuvent pas être attaqués, car ils ne participent pas directement au conflit. Ainsi, le fait de diriger intentionnellement une attaque contre des civils (qui ne participent pas directement au conflit) est considéré comme un crime de guerre.

Quitter la version mobile